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30 mars 2008

LA DÉMOCRATIE à NÎMES (1)

1571053157.2.jpgLe nouveau Conseil Municipal de NÎMES, sorti des urnes le 16 Mars dernier, a tenu sa première réunion.

Une soudaine amnésie semble l‘avoir déjà frappé.

• Alors que pendant la campagne électorale, une unanimité a dénoncé le poids excessif de la fiscalité locale nîmoise - l’une des plus élevées de France - la première décision des nouveaux édiles nîmois, sur proposition du Maire - Jean-Paul FOURNIER - a été de s’octroyer une augmentation de leurs indemnités de ±35%. Un simple conseiller municipal (les 22 de sa majorité, évidemment, pas ceux de l’opposition) percevra désormais 1.262,64€ par mois, et un adjoint (ils étaient auparavant 15, ils sont maintenant 21, soit 40% de postes en plus) percevra chaque mois par moins de 2.424,78€ (Source : Midi Libre du 30/3/2008). Une vraie rente de situation.

Qui paiera ? Les nîmois, bien sur ! Alors que le vrai courage aurait été de montrer l’exemple d’un effort collectif de solidarité.

Qu’a dit, dans ce débat, le grand argentier nîmois Yvan LACHAUD et ses affidés du Nouveau Centre ? Rien. Comme d’habitude, face au rouleau compresseur FOURNIER, ils se sont tous écrasés. Mais, à ce prix-là, bien sur, il y aura silence dans les rangs. Il fallait bien cela.

• Alors que, par ailleurs, un courant fort traverse l’opinion française, et jusque dans les sphères gouvernementales, pour que s’instaure un vrai dialogue avec cette (presque) moitié des français qui n’ont pas voté là, SARKOZY, ou ici à NÎMES, FOURNIER, dialogue se traduisant par une ouverture pour que cette (presque) moitié des français ait voix (ou au moins simple droit de regard et d’information) sur les grandes décisions qui concerneront tous les citoyens sans distinction, Jean-Paul FOURNIER, resté sourd et aveugle devant ce courant irrésistible vers une démocratie plus présente dans nos institutions, a décidé qu’il n’y aura aucun représentant de l’opposition au sein de l’Agglomération de NÎMES-MÉTROPOLE. Quoiqu’on sache que les compétences de cette collectivité vont être de nouveau élargies sur des domaines très sensibles, et ce au détriment de celles actuellement détenues par l’Assemblée Communale.

Dans ce débat, qu’ont encore dit LACHAUD et ses affidés ? Ont-t-ils levé le petit doigt ? Ont-ils élevé un commencement de timide protestation ? Non, rien ! Ils se sont tous écrasés. Comme d’habitude....
 
Un vrai déni de démocratie. Mais, avec FOURNIER, nous étions déjà habitué. Rien n’a décidèment changé à NÎMES.
 
Jean BART

20 mars 2008

RÉPONSE à Yvan LACHAUD

Le député Yvan LACHAUD, dans la livrée du Midi Libre du 20 mars, fraîchement rallié à l’UMP pour les raisons électorales que chacun connaît, reconnaît implicitement que le Nouveau Centre, parti riche en élus mais pauvre en militants (7.000 à l’échelle nationale !), ne correspond plus aux valeurs centristes et tente désespérément d’amadouer les électeurs du MoDem pour les inciter à rentrer sous la bannière du président SARKOZY.

Effectivement, la majorité présidentielle, par la prise d’indépendance des vrais centristes au sein du MoDem, a vécu un bien difficile dimanche électoral.

De nombreux leaders nationaux de l’UMP partagent l’avis de M. LACHAUD et savent désormais qu’à travers le MoDem, une organisation politique nouvelle, à partir d’une génération politique nouvelle, a émergé, et ceci sur la base d’un projet nouveau.

Dans une élection locale, par nature difficile pour un nouveau parti, le MoDem a enregistré en moyenne 15 % des voix dans les villes où il était présent, ce qui, pour une proposition radicalement différente, est un premier succès.

Ce n’est pas la défaite de François BAYROU à Pau - suite à des manœuvres que les analystes politiques ont vite établies - qui enlèvera le Mouvement Démocrate du panorama politique français pour enfin effacer les antagonismes politiques d’un autre temps qui ont conduit notre pays là où il est et dans lesquels M. LACHAUD fait mine de se complaire.

Philippe BERTA

17 mars 2008

COMMENTAIRE de Guillaume CASTILLE

Après le 2ème tour des municipales et des cantonales, un jeune militant Démocrate - Guillaume CASTILLE - membre du Bureau Départemental et qui a accepté courageusement de s'engager dans la campagne comme suppléant de Joëlle PELLISSIER sur le 2ème canton de NÎMES, livre son sentiment sur son blog Du Coq à l'Âne

Cette page est très intéressante à lire et fort encourageante pour l'avenir.

14 mars 2008

PRÉCISIONS

Le Midi Libre de ce vendredi 14 Mars, avant-veille du 2ème tour des élections municipales et cantonales, nous a réservé son lot habituel de déclarations dont certaines sont, pour le moins, surprenantes.

PRISE DE POSITION D'UN MAIRE
 
Un Maire de l’Uzège, brillamment réélu dimanche dernier - ce dont nous le félicitons d’autant vivement qu’il est un excellent ami de très longue date - prend position dans l’élection municipale de NÎMES (!) en faveur du Maire UMP sortant.
Cet ami semble ignorer que le Bureau Départemental de notre Mouvement - auquel il appartient de plein droit et auquel il a été invité, comme chacun de ses membres, à délibérer sur cette question ce dernier lundi 10 Mars - a pris acte de la volonté de fermeture du Maire UMP sortant de NÎMES au profit de son seul parti dominant et dominateur.
Le Bureau Départemental a donc décidé, ce lundi 10, à la quasi-unanimité de ses membres de ne soutenir aucune des deux listes présentes ce prochain 16 Mars à NÎMES.
Peut-être si ce Maire de l’Uzège avait été présent lors de cette réunion, aurait-il pu plaider son désir de soutien à son collègue de NÎMES (en difficulté) pour tenter d’infléchir la décision du Bureau : mais il était absent et n’avait donné aucun mandat pour être représenté.
La décision du Bureau s’impose donc désormais à tous. Et notre ami - tout Maire réélu soit-il - n’a ni mandat ni autorité aucune pour prendre une quelconque position contraire face à celle adoptée par le Bureau Départemental, et ce par simple application des statuts (dont il devrait pourtant en connaître l’esprit et le contenu puisqu’il a participé à leur rédaction et les a votés lors du Congrès fondateur de notre Mouvement en Décembre 2007).
Nous invitons donc ce Maire de l’Uzège à relire ses textes avant de déclarer n’importe quoi.

APPARITION D’UNE MADONE DU CENTRE
 
Autre déclaration surprenante : celle d’une Conseillère Municipale de l’équipe municipale nîmoise sortante qui, pour s’assurer de sa propre réélection, a préféré quitter notre Mouvement pour figurer sur la liste du candidat Maire UMP de NÎMES, se présentant à ses côtés en concurrence face à la liste investie par le Mouvement auquel cette Conseillère appartenait.
Non contente d’un choix que nous respectons mais qui lui retire cependant désormais toute qualité pour continuer d’affirmer être toujours membre de notre Mouvement, voici qu’elle feint ignorer les conséquences automatiques de son choix.
Il faut que cette Conseillère cesse de mentir comme elle le fait à propos de son appartenance à un Mouvement qu’elle a volontairement quitté. Ce qu’elle n’ignore nullement.
Il faut que cette Conseillère en informe son nouveau mentor qui, dans ses déclarations publiques, laisse entendre à ses électeurs que sa liste comprend un (ou des) membre(s) du MoDem, ce qui est totalement faux.
Il faut que cette Conseillère sache que l’action du centre - le vrai et non celui qui penche ou à droite ou à gauche, centre incarné par le seul Mouvement Démocrate - sera plus réel et efficace en dehors du futur Conseil Municipal de NÎMES qu’en son sein.
Il faut que cette Conseillère cesse d’oublier que, si elle est réélue, elle sera nécessairement soumise, comme auparavant, à un devoir de réserve et de fidélité absolue à la tête de liste à laquelle elle s’est ralliée.
Il faut que cette Conseillère rafraîchisse sa mémoire - devenue apparemment très courte - oubliant soudain les contraintes et les pressions auxquelles elle a été elle-même soumise - comme tous les membres du Groupe UDF (MoDem) auquel elle appartenait - au cours des sept années écoulées au sein de la Municipalité sortante, au mépris de toutes règles démocratiques les plus élémentaires. Ce qui est généralement le cas dans des municipalités  à domination RPR/UMP.
Il faut que cette Conseillère cesse de se croire devenue la “Madone du Centre” à NÎMES : le centre - le vrai - ce n’est pas elle qui peut prétendre l’incarner. Il y a pour cela un Mouvement, des responsables, des adhérents de plus en plus nombreux pour ce faire. Nous n’avons nul besoin d’apparition salvatrice d’une nouvelle madone pour savoir la conduite que nous devrons tenir pour restaurer une vraie démocratie à NÎMES.

Il était nécessaire d’apporter ces précisions pour couper court à ces “n’importe quoi” qu’on lit ou entend actuellement pour tromper les électeurs à la veille de choix décisifs.

COMMUNIQUÉ de Joëlle PELLISSIER

Joëlle PELLISSIER, Conseillère Générale sortante du 2ème Canton de NÎMES, remercie les 1.297 électeurs qui, passant outre les consignes d’un parti politique dominant, ont bien voulu reconnaître l’action incessante qui fut la sienne au cours de son mandat et lui ont renouvelé leur confiance.

Absente du 2ème tour, elle laisse libres ses amis électeurs et électrices de se prononcer sur le candidat de leur choix, n’ayant aucune consigne à leur donner entre un candidat représentant un parti totalitaire issu d’un passé révolu et un autre qui ne sera que le portefaix d’un parti dominant.

Elle donne rendez-vous à chacune et chacun dans un avenir qu'elle espère proche pour se mettre de nouveau au service de la population pour plus de justice sociale dans une vraie démocratie retrouvée.

12 mars 2008

ÉDITORIAL de François VAN DE VILLE

J'AI MAL POUR NÎMES....

772533361.jpgNous avons tous pris connaissance de la belle et libre prise de position de Philippe BERTA, Tête de la Liste “ÊTRE ENSEMBLE” aux municipales de NÎMES, à la veille du 2ème tour où les nîmois devront choisir entre deux clans opposés : • l’un socialo-stalinien - comme au “bon vieux temps” - traversé par ses innombrables courants de division internes qui conduiront nécessairement à leur coutumière paralysie mutuelle • l’autre clan étant cet étrange assemblage de deux familles politiques conduites par deux personnalités qui se haïssent intimement et se jurent chaque matin "d’avoir la peau de l’autre", c’est-à-dire une équipe déchirée par les ambitions des uns et des autres et qui ne voient que leurs intérêts à court terme. Et non pas l’intérêt des innombrables nîmois qui aspirent au changement, changement dont nul ne nie, d’ailleurs, la nécessité.

Les nîmois sont donc privés d’un vrai choix. Quelque soit celui qui arrivera dimanche au pouvoir en mairie de NÎMES, il fonctionnera suivant une même logique : la logique clanique du plus fort, au service surtout d’eux-mêmes et des intérêts de leur propre camp.

Cette situation est profondément dramatique.

Je lisais aujourd’hui même une note parue sur le blog d’un élu présent dans l’équipe sortante et pour qui il faut, selon lui, “choisir”, c’est-à-dire choisir nécessairement l’équipe à laquelle il appartient. Oui, il nous faudra, ce dimanche 16 Mars, choisir : mais ce sera choisir entre deux clans, choisir un peu comme entre la peste et le choléra. Cruel dilemme que voilà. Et c’est bien, hélas, de cela dont il s’agit.

Nul doute que, dans le secret de l’isoloir, chacun fera finalement un choix - “son” choix - selon sa propre sensibilité (à moins qu’il aille “à la pêche”, ce qui serait profondément regrettable). Mais ce sera, hélas, un choix sans enthousiasme, sans réel élan, un choix de résignation, le choix du moindre mal, mais, de toutes façons, d’un mal quand même.

J’ai mal pour cette ville de NÎMES qui m’a si bien accueilli voici 17 ans et pour qui j’ai aujourd’hui un profond attachement, une réelle passion. J’ai mal pour NÎMES car elle méritait mieux que cela, mieux que ce non-choix à laquelle on la soumet aujourd’hui.

Je partage l’appel de Philippe BERTA aux nîmois quand il les appelle à se rassembler “pour réfléchir ensemble à la meilleure manière de sortir NÎMES des impasses économiques et sociales dans lesquelles elle a été mise”, que ce soit avec l’un ou avec l’autre des clans qui nous sont proposés, et ce au sein d’un Mouvement qui, seul, incarne aujourd’hui le vrai changement.

Je reviendrai prochainement sur ce sujet.

À bientôt.

11 mars 2008

COMMUNIQUÉ de Philippe BERTA

COMMUNIQUÉ de Philippe BERTA

Tête de la liste "ÊTRE ENSEMBLE" aux Municipales de NÎMES

Je sais aujourd'hui que les quelques 9% que nous représentons sont susceptibles de faire basculer l'élection de dimanche prochain.
 
J'étais prêt à entendre des propositions venant des deux côtés dans l'intérêt de notre ville et de ses habitants. Il n'a jamais été question de nous vendre mais de respecter notre ligne de conduite, celle de l'intérêt général.

Je n'ai pas entendu d'engagements forts, susceptibles de sortir notre ville de l'état dans lequel elle se trouve.

Cela confirme qu'aucun des deux maires sortants ne peut justifier notre soutien, comme cela a pu être le cas dans des mairies de droite ou de gauche dans d'autres villes.

Je viens donc faire ici une déclaration d'indépendance et j’appelle les Nîmoises et les Nîmois à rejoindre le Mouvement Démocrate pour réfléchir ensemble à la meilleure manière de sortir Nîmes des impasses économiques et sociales dans lesquelles elle a été mise.
Philippe BERTA

 

COMMUNIQUÉ de Mme Claude REIGNIER

Mme Claude REIGNIER, Candidate "Gaullisme de Rassemblement" au 1er tour des élections cantonales sur NÎMES 6, soutenue par le Mouvement Démocrate du GARD, a publié un communiqué de presse concluant sa candidature avant le 2ème tour des élections du 16 Mars prochain.

Voici ce communiqué : Comm.Presse.Cl.REIGNIER.08.03.11.pdf

10 mars 2008

Jean-Paul FOURNIER trompe....

Mr Jean-Paul FOURNIER trompe ses (é)lecteurs.

Sur son blog "Nîmes en Tête", il reprend le texte d'un article récent du Midi Libre dont les propos ont été prêtés au candidat du MoDem, Mr Philippe BERTA et qui avaient entraîné aussitôt une très compréhensible réaction de la personne que ces propos visaient injustement.

Mais Mr FOURNIER a simplement omis de dire sur son blog que, dans ce "droit de réponse" parfaitement justifié de la personne concernée, le Midi Libre s'est confondu auparavant en plates excuses et en affirmant que jamais Mr BERTA n'avait prononcé les propos incriminés et qu'il s'agissait d'une regrettable erreur de transmission.

Mais, évidement, Mr FOURNIER ne dit rien de l'erreur et des excuses du Midi Libre....

Mr FOURNIER trompe ses (é)lecteurs.

Un peu plus loin, commentant les résultats du premier tour des élections aux municipales de NÎMES (où il omet de dire qu'un peu plus de 6 électeurs sur 10 n'ont pas voté pour lui), il affirme que dans sa liste se trouvent des membres de l'UMP, du Nouveau Centre, de la Société Civile et.... du MoDem.

Mr FOURNIER ment : sa liste ne comprend aucun membre actuel du MoDem. Il confond membres actuels et anciens membres n'en faisant plus partie.

C'est décidèment une attitude chronique chez lui : Mr FOURNIER trompe ses (é)lecteurs.

C'est bien un aveu de faiblesse quand il se sent menacé pour le second tour du 16 Mars. (lire les titres de presse du Midi Libre de ce iundi 10 Mars).

RÉUNION POST-ÉLECTORALE

RÉUNION DU BUREAU DÉPARTEMENTAL

Les membres du Bureau Départemental du Mouvement Démocrate du GARD se réuniront ce lundi 10 Mars à 18h30 (permanence d'Éric FIROUD, face aux arènes de NÎMES) pour analyser les résultats des élections municipales et cantonales dans le GARD et déterminer la position du Mouvement pour les seconds tours.